Nicodème Von Rosengarten *fini*

Nom :
Von Rosengarten

Prénom :
Nicodème

Age :
Allez savoir, certainement plus que vous simple humain…

Votre camps :
Sûrement de la classe des Vampires, il faudrait encore que vous veniez vérifier.

Avatar :
Je ne saurais le dire… J’en suis sincèrement désolé, veuillez pardonner mon ignorance.

Votre présentation physique:
Nicodème est un homme, jusque là me direz vous, rien de plus normal… Ce jeune homme, peut être plus si jeune que cela, arborera certainement éternellement un teint terriblement pâle, ce même teint qui semble être renforcé par la couleur sombre de ses cheveux, cette pâleur que l’on pourrait aisément accorder avec celui d’un cadavre… Ce même jeune homme, qui n’est pas vraiment grand sans être petit, voit son teint cadavérique être accompagné d’une charmante paire d’yeux d’un bleu anthracite profond… Ce même bleu gris que l’on connais si bien les jours d’orages.
Cependant, même si le portrait pourrait être un brin charmeur, Nicodème porte souvent sur son visage un air triste.
S’il vous est donné un jour le bonheur

Lieu de résidence :
Je crois bien que je ne me sens pas capable de me défaire de mon clan…

Signe particulier :
Il semblerait que même ses cheveux mi-long ne puissent pas cacher l’horrible cicatrice qui marque son cou…

caractère :
Quand il était enfant, il était un charmant petit être terriblement turbulent, qui aurait fait suer le monde entier rien que pour voir accomplir un de ses simples caprices… Mais en grandissant, et en vivant sa vie il devint un jeune homme relativement soupçonneux, n’accordant sa confiance qu’à de très rares personnes.
Il est tout de même une personne terriblement réfléchi, faisant rarement quelque chose sans avoir prévu les coups qui sortiront de l’échiquier…
Voir la vie comme une partie d’échec, n’est pas vraiment amusant, et si vous avez la chance ou la malchance de le rencontrer, vous serez témoin de son naturel méditatif.
Pas vraiment idéaliste mais pas fataliste non plus… On pourrait plutôt le prendre pour un simple relativiste… Mais ce n’est pas le cas non plus, car Nicodème est une personne très difficile a cerner…
Néanmoins, il s’agit d’un grand amateur de musique. Cet art sacré qui semble être la seule chose capable de faire disparaître son aire maussade…


Histoire et Comment êtes-vous venu à faire parti de votre camps ?

Si je devais raconter ma vie j’en viendrais certainement a parler de ma première vie, celle qui commença avec ma naissance, je ne me permettrais pas de vous dire que je me rappelle de ce jour car ce serait vous mentir. Mais je pense qu’a l’époque ou je suis née il était dans les coutumes pour les femmes de mettre au monde leurs enfants dans la demeure familiale, et ainsi il serait juste que je vous dise que je suis née Soest, une petite ville de Westphalie, de parents de petite noblesse.
Enfant unique et presque inespéré, je fus choyé a tel point que je développais une certain orgueil et de l’envie a en revendre… Mais mes caprices ce trouvaient être éternellement accomplie, comme quoi la richesse a cette époque semble avoir les mêmes effets qu’à celle qui s’écoule a présent.

Les années passèrent, et mon père déjà fortement âgé à ma naissance fini par tomber malade, et ne résista pas bien longtemps à cette maladie qui le rongeait… Enfant unique et dernier descendant d’une famille décimée par la maladie, la guerre et les querelle de pouvoir, ce fut moi qui du haut de mes douze ans dus prendre la place de ce regretter géniteur…
Bien sur voyait dans mes paroles une certaine dose d’ironie, car ce père que j’aurais due certainement aimer pour sa gentillesse et son amour, ne m’avait que rendue malade de jalousie… Je ne faisais que convoiter sa place avide d’un certain pouvoir. Certainement un autre caprice de ma part, et je m’en excuse.
Douze ans… Était ce un age pour voir un certaine dose de pouvoir être remise entre mes mains? Certes ce que l’on donne a un comte comme pouvoir de décision ce n’est pas grand-chose, mais pour un enfant c’est déjà le bout du monde…
Quoi qu’il en soit ce qui devait arriver arriva, les problème de gérance s’accumulèrent, la révolte grondait au porte de la demeure…

Et ma mère qui ne mettais pas vraiment utile était en passe elle aussi de succomber à une bien étrange maladie mentale… Bientôt la seule personne que je chérissais a l’époque n’existerait plus… enfermée dans son corps sans discerner le monde qui l’entoure. A cette époque déjà lointaine, je me sentais coupable pour elle, je me sentais comme étant la cause de la perversion de son âme et je pensais que m’avoir engendrée lui avait fait perdre la place qui l’attendais dans l’eden.
Mais une fois enfermée dans un couvent, je l’oubliais peu à peu, me remettant du haut de mes dix-sept années a diriger mon petit monde à la baguette… Oui je dirigeais tout jusqu’à ce que mon rêve de pouvoir s’écroule et que je fusse chasser de mes terres par ce peuple excéder…
Maintenant je le comprends… mais il n’en fut pas toujours le cas. A ce même peuple je jurais de venir me venger un jour, de me venger de ce que je prenais pour une traîtrise venant de leur part, moi, qui croyait qu’il me devait allégeance… Moi qui me prenais pour un grand roi, alors que je n’étais qu’un simple vicomte d’une contrée perdue de ce qu’on appelle maintenant l’Allemagne… Mon passage de la richesse a la dureté d’une vie d’errance d’un enfant sans famille fut rude… Je ne comprenais pas vraiment ce qui était en train de m’arriver. Personne ne m’avait un jour dit qu’il était des choses qui se passait ainsi… Et je n’avais jamais été capable d’imaginer ce qui pour moi semblait être inimaginable.

Ce fut certainement le second tournant de ma vie et peut être le plus important, car dans ma très courte errance je fis la connaissance d’une femme… La plus belle femme qui m’eut été donnée de voir. Cette femme me sortis de la misère en quelque sorte… Vous vous demanderez pourquoi elle fit preuve d’autant altruisme à mon égard, et bien je me contenterais de vous répondre, que malheureusement je n’en sais rien. Mais il ne serait pas étonnant que ce fut l’histoire de ma jeunesse que je vous ai compté et que je lui comptais au détour d’une rue par une nuit sans lune, qui l’amusa fortement.
Cette femme ce nommait Aléria Von Rosengarten… qu’elle nom bien approprié pour une si belle rose (Rosengarten voulant dire Roseraie)!



Elle fit de moi son garçon de compagnie, elle m’apprit a jouer du violon, et je fus chargé de la distraire pendant ses longs moments d’ennuis. Mais la tache me semblait horriblement rude, surtout quand je la voyais s’ennuyer de toute ce que je faisais, et il régnait alors en moi l’impression que cette femme avait déjà tout vu, tout entendu et tout connu. Ce fut certainement cela qui me força a réfléchir plus et a voir plus loin, car je n’avais guère envie qu’elle se lasse de moi et me renvois à mon errance…

Les années passèrent, et je ne le comprenais toujours pas… Cette femme, qui semblait craindre le soleil, ne vivant que la nuit, d’une beauté époustouflante… Une femme que je trouverais encore aujourd’hui terriblement énigmatique…
En ce temps là, je me trouvais avoir vingt-trois ans, et cela faisait déjà plus d’une année, que de simple trompe l’ennui j’en étais venue à réchauffer sa couche certaines nuits. J’étais son amant quand rien d’autre ne semblait pouvoir chasser l’ennui qui embrumé son esprit, et j’avouerais même aujourd’hui que cette situation me plaisait au plus haut point… Mais tout a une fin, encore aujourd'hui...

Bien sur ce qui suit n’est pas vraiment une fin en soi… mais pour moi, il s’agit bien de la fin de ma vie.
J’avais toujours été persuadé par cette femme, que cette crainte du soleil était due a une certaine allergie au soleil qui la défigurait a chaque fois qu’elle entrait en contact avec celui-ci… Et je ne cherchais alors pas a la contredire, ne voulant pour rien au monde la voir perdre de sa beauté…
Même maintenant, je me sens encore un peu idiot… être dupé aussi facilement tout simplement pas la beauté et la charisme d’une femme. Ce sont des choses qui je pense ne m’arriveront plus.
Quoi qu’il en soit, là ou je veux en venir, c’est que la malédiction qui la touchait fini pas me rattraper certainement au moment ou je m’y attendais le moins. Mais en même temps qui s’attendrait a ce faire mordre par deux canines terriblement aiguisée alors qu’il est en train de s’adonner au pêcher de la luxure… Elle m’avait tant de fois mordue, mais jamais de cette façon…
Je me sentis partir… loin… Et dans le lointain, j’entendais mon sang couler dans sa gorge avide… Ce son fut la dernière chose que j’entendis avant de m’effondrer sur les berges du styx.

A partir de ce moment là et jusqu’à mon réveil inespéré il s’écoula près d’un mois… Je me trouvais toujours dans la même chambre que lors de cette événement, je me sentais groggy et sans force… J’étais bien incapable a ce moment là de me mettre debout, et je me contentais de regarder l’unique porte de la pièce, espérant qu’elles s’ouvrent sur Aléria…
J’attendais encore et encore… Mais rien ne changea la porte resta close, et ce fut cela qui me poussa a me lever pour chercher l’objet de ma curiosité, si je peux parler de curiosité.
Arpentant des couloirs que je trouvais terriblement différents, je finis par la trouver, mais contrairement a ce que je pensais, je ne la retrouvais pas seule, mas bel et bien en compagnie d’un homme. Cet homme particulièrement beau dont je tairais le nom car il n‘a guère d‘importance, en me voyant arriver étira ses lèvres en un sourire qui laissa apparaître l’objet de ma crainte a présent réveillée. Cette même crainte qui me fit reculer d’un pas avant de me ressaisir hurlant a ma conscience de ne pas céder a la peur.
Je posais alors les yeux sur elle. Cette femme qui m’avait mordue et qui a présent me tournait le dos dans un silence religieux.
Je vous avouerais qu’il ne s’agit que de souvenir et que leur propos n’étaient pas tout a fait les mêmes mais je les restitue aussi fidèlement que je le peux.

«- Alors tu n’as pas pus t’en empêcher Aléria?! Je ne te pensais pas capable de pitié envers un humain… Dit l’homme amusé tout en continuant a me regarder ses canines sorties.

- Il était tout particulièrement amusant, mais je m’en suis lassée… »

Je ne comprenais pas vraiment ce qu’il disait, je me sentais comme d’un autre monde. Mais ma curiosité l’emportait et je continuais a écouter cette bien étrange conversation entre ses deux être dont j’ignorais la nature mais qui semblait tout de même d’une tout autre espèce que moi.

« - Je pensais boire son sang jusqu’à la dernière goutte… Mais pas chance pour lui, il n’était pas particulièrement a mon goût…

-Allons ma chère, nous savons tous que tu n’as particulièrement pas de palais, et que tu ne sais reconnaître un grand cru d’un vinaigre… 

- Quoi qu’il soit Antoine… Maintenant qu’il fait parti des nôtres, je n’en ai que faire, emmène le avec toi. Les vampires ne m’intéressent pas…  »

Je venais enfin de comprendre ce qu’ils étaient et ce que par là même j’étais devenue… Moi qui trouvait les contes de ma mère beaucoup trop fantasque, je me trouvais alors bien obligé d’avouer leur véracité…
Mon regard retomba sur les fauteuils ou tous deux étaient encore assis il y avait de cela quelque seconde… Mais il n’y était plus.
Mais une main effleura mon coup, me faisant ressentir une vive douleur. Cet endroit de mon corps était celui qui avait été la cause du changement de ma vie et de mon entrée dans la mort.
L’homme était toujours là, et c’était a lui qu’appartenait cette main qui venait de me toucher…

« Jeune homme, je me dois de te dire: Bienvenue parmi nous! »

Ce qui se passa après cette nuit, fut très rapide, bientôt je quittais la demeure Von Rosengarten en compagnie de l’homme, ou plutôt du vampire.
Celui-ci m’apprit que cette femme avec qui j’avais vécu pendant quelques années, m’avait légué son nom en me mordant… Je ne comprenais pas vraiment tout ce qu’il me racontait, mais selon lui il s’agissait d’une réelle preuve d’amitié de la part de mon ancienne amante.
Pour moi il s’agissait simplement d’une renaissance, je changeais de nom, et de vie… C’était un tout autre commencement, qui incluait à présent mon appartenance a un clan.
Bien des années plutard, j’appris la mort d’Aléria. Je ne sus pas vraiment la cause de sa mort, mais une chose était certaine, c’est que cette femme ou plutôt ce vampire resterait a jamais graver dans ma mémoire, car elle était devenue en quelque sort ma seconde mère.

Le code qui se trouve dans le règlement du forum :
Sang

Me manque juste la relecture... qui viendra euh quand elle viendra